Spectacle
d'ombres et de musique réalisé avec le Créahm
(Créativité et Handicap Mental) de Liège.
Fantasmagories est né de la rencontre magique de
deux univers: l'univers des plasticiens , musiciens et comédiens
du Créahm et celui des montreurs d'ombres et musiciens
du Théâtre du Tilleul. Un détour formidable
et déterminant dans le parcours de la compagnie. |
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Distribution |
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Mise
en scène de Carine Ermans avec la collaboration de Françoise
Bloch.
Avec:Vincent Becker, Samuel Cariaux, Pierre Coune, Mark Elst,
Carine Ermans, Luc Eyen, Florent Galler, Alain Gilbert, Jean-Luc
Massaux, Michel Petiniot, Joseph Rinzivillo.
Décor d'Any Servais.
Collaboration au projet : Véronique Chapelle. |
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Vie du spectacle |
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Création
à Bruxelles, décembre 1996, Théâtre
de la Balsamine et Halles de Schaerbeek
Création à Liège, janvier 1997, Agora et
Créahm.
80 représentations en Belgique, France, Suisse, Espagne,
Italie et Ile de la Réunion (Afrique).
Prix de la Ministre chargée de l'Education aux Rencontres
de Huy (août 1997).
L'aventure invraisemblable que fut la tournée de ce spectacle
a été racontée dans un second court spectacle,
monté par la même équipe, baptisé
Carnets de Voyage, et joué à Charleroi et
à Bruxelles.
Fantasmagories a fait l'objet d'un long et très
beau reportage télévision par TéléVesdre
(Anne Poncelet). |
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Résumé |
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Une danseuse aux allures africaines.
Un chien qui aime jouer à
Créatures étranges, apparitions fantastiques, fantômes
manipulés, tous ces personnages nés de l'ombre,
se bousculent dans une galerie de portraits singuliers. Au son
d'une fanfare aux accents délirants, baignées d'une
lumière intemporelle, les silhouettes apparaissent, dansent,
se meuvent et s'évanouissent tout aussi mystérieusement.
Le spectacle est conçu
comme une suite de séquences de théâtre d'ombres,
centrées sur les personnages créés par les
artistes du Créahm. Les comédiens - qui sont également
musiciens - se succèdent derrière l'écran
pour jouer l'histoire dont ils sont l'auteur, avec l'aide de
deux autres montreurs d'ombres qui restent derrière l'écran.
A vue, à côté
de l'écran, un narrateur-maître des cérémonies
annonce les séquences, dont la fin est ponctuée
d'un coup de gong.. A vue également, et omniprésent,
un orchestre joue. C'est lui qui assure le rythme et la continuité
du spectacle.
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